le 20 janvier à Nancy

Publié le par Philippe SCHNEIDER

          Recueillement à la Chapelle du Sacré Coeur à Nancy pour les quelques 200 personnes venues assister à la Messe pour Louis XVI. Le prédicateur, l'abbé Billecocq, montra que le Roi de France, soumis aux lois de la religion catholique, était à la tête d'un pays dans lequel la loi naturelle était dans l'ensemble respectée comme les libertés. La révolution satanique renversa cet ordre pour le plus grand malheur de la France et des Français. Et nous ne finissons pas de payer cette révolution qui s'est introduite dans l'Eglise même.

          Une cinquante de participants de retrouvèrent ensuite à la Taverne de Maître Marcel pour déguster une choucroute et la traditionnelle galette des rois dans une ambiance chaleureuse.

          Jean-Marie CUNY intervint en rappellant cette phrase connue du lorrain Raymond Poincaré : "La grande erreur de la France, c'est d'avoir exécuté Louis XVI". Il s'en suivit des massacres, une perte des libertés au nom d'une "Liberté" abstraite, une décomposition de notre civilisation jusqu'à aujourd'hui où nous voyons l'avortueuse Simone Veil nommée par Sarkozy pour présider une nouvelle commission sur la bioéthique.

          Philippe SCHNEIDER montra ensuite que la France qui fut une "famille de familles" ayant à sa tête une famille : la famille royale, formait une société naturelle. La révolution, au nom de l'individualisme, a voulu casser cette société. L'individu est en effet plus facilement maléable isolé que vivant en société. D'ailleurs, aujourd'hui encore, des lois anti-familiales sont faites par l'Etat républicain. Pour "marquer la rupture", il lui fallait bien non seulement tuer le Roi mais toute la famille avec la Reine et le Prince héritier, crimes dont la France ne s'est jamais remise.

          Cette journée se termina par le chant de La Royale et tous les présents se donnèrent rendez-vous pour poursuivre le combat de salut public de restauration monarchique.

          On notait la présence de deux conseillers régionaux (Jean-Luc Manoury et François Ferrier) et Christian Poncelet, Président du Sénat, Président du Conseil général des vosges, avait fait envoyer un message pour l'excuser de son absence.

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