13 décembre - journée noire

Publié le par Philippe SCHNEIDER

Lorsque l'on écrira plus tard l'histoire de France, cette journée du 13 décembre 2007 sera à jamais à marquer d'une "pierre noire", une des journées les plus honteuses de notre Histoire, celle où un Président félon veut signer la mort de la France.

Ce traité dit de Lisbonne reprenant le projet de constitution européenne refusé par les Français et après le funeste traité de Maastricht dont nous payons les conséquences actuellement sonne la fin de notre indépendance.

Nous ne pouvons qu'espérer - sans trop y croire - qu'il y aura suffisamment de parlementaires français pour refuser cette trahison.

Soyons clair, nous refusons ce traité comme celui de Maastricht. Nous ne reconnaissons pas le droit à notre Président le pouvoir de le signer au nom non seulement des Français vivants mais de centaines de millions de français morts et autant à venir.

Nous avons la conviction que la France continuera de vivre, malgré Sarkozy et la majorité de la "classe" politique. Nous nous battrons pour et faire annuler ces funestes traités.

Philippe SCHNEIDER

Publié dans L'Actualité Politique

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A
L'AF est vraiment hors du temps, dans un autre monde, disparu à jamais.
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P
Pourquoi hors du temps ? Pour une fois qu'elle rejoint l'opinion majoritaire des Français ! Ce qui n'est pas, je le reconnais, souvent le cas mais notre devoir est toujours de dire la vérité, même lorsqu'elle n'est pas partagée, dans l'instant, par le reste de la population.Dans le cas présent, le Président et ses complices sont obligés de cacher la vérité, de tricher en évitant le référendum pour imposer leurs idées qu'ils savent minoritaires.Qu'est-ce qui a disparu à vos yeux ? la France ? Alors c'est bien triste si vous le pensez. Mais ce n'est pas la première fois que ce type d'idée existe : déjà, lors de la guerre de 100 ans, la majorité des bourgeois, une grande partie des "intellectuels" pensaient que l'union avec l'Angleterre était irréversible, la France était terminé. Plus tard, d'autres, dans le même esprit ont souhaité une union avec l'Allemagne (Saint empire romain germanique.... IIIè Reich)...Chaque fois la France est sortie plus forte de l'épreuve. Il en sera de même cette fois-ci si des Français le veulent réellement.Il n'y a pas de sens de l'histoire du moins en sens matériel du terme, il n'y a que des hommes qui font l'histoirePhilippe SCHNEIDER 
O
Imaginez que le Roi, que l'on ne choisit pas, devienne un fervent européiste, et que, comme le fait actuellement Sarkozy, il décide de brader la France sans écouter le peuple. Imaginez que le Roi, pour des raisons de calcul politique, décide de céder une partie du territoire à un autre Etat, imaginez que l'on ait un mauvais roi. Qui pourra l'empécher ? Quels sont les contre pouvoirs dans la monarchie ? ( je supose que vous défendez une monarchie non parlementaire, cette dernière n'étant selon moi qu'une démocratie déguisée)
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P
L'avantage de la monarchie royale est qu'elle lie l'intérêt du pays à celle de la famille royale. Ce qui n'existe pas en république. C'est vrai qu'i peut y avoir un "mauvais" roi. Dès lors il cherchera à s'entourer de "bons" ministres pour pouvoir transmettre à son fils un royaume en meilleur santé possible.Il y a des contre pouvoirs dans la monarchie : les corps intermédiaires (métiers, provinces), le conseil de famille, le parlement dont la forme serait à déterminer (représentation des corps intermédiaires, des juristes....) Louis XIV avait beaucoup moins de pouvoir sur la population que Sarkozy^: il n'avait que les pouvoirs régaliens (monnaie, armée, justice, affaires étrangères...). Pour le reste, il n'avait qu'un rôle d'arbitre quand on faisait appel à lui. Le Roi était le garant des libertés réelles du peuple.Ceci dit, ce n'est pas un régime parfait car rien n'est parfait en ce monde. Il a cependant fait ses preuves durant 8 siècles en faisant la France, la république montre - elle - son incapacité.Philippe SCHNEIDER